Alors que le monochrome couillon s’installe dans notre vieille France grâce à un flopée de branquignols imbéciles fans de lois creuses, de machins LGBT vicelards, de gender crétin, d’égalitarisme niais et entrepreneuriat impossible, je propose le retour à un monde de couleurs et de formes Rhapsodie Hongroise No2 de Liszt, version pour orchestre
Étiquette : Liszt
La Campanella
Retour d’été, Liszt, à partir de Paganini… #Friday Classical
Consolation dans un monde de brutes
Le vieux monsieur digne qui joue sans en avoir l’air, typique de notre … #FridayClassical